Vos Guides
d’Institut de Kiné Paris

Plus jamais mal au dos
- Comprendre et prévenir les douleurs dorsales
- Kinésithérapie : conseils et bienfaits
- Exercices pour une récupération optimale

Réhabilitation
- Guide dédié à la santé des chevilles et pieds
- Adapté en post-blessure ou en prévention
- Conseils pour mieux récupérer

Les boissons
- Adaptez votre hydratation à votre activité
- Booster vos performances sportives
- Impact des boissons sur la récupération

L’alimentation des sportifs
- Conseils pour allier sport et alimentation
- Alimentation optimisée pour vos performances
- Tout savoir sur la nutrition sportive

Le guide kiné arthrose
- Guide pour mieux vivre avec l’arthrose
- Exercices et conseils contre l’arthrose
- Autonomie dans la gestion de votre douleur

Suivez les conseils simples contenus dans ces livres électroniques et commencez à vous sentir mieux dès aujourd’hui.
Où devrions-nous envoyer votre livre électronique ?
Les pathologies du bras

Le bras désigne la partie proximale du membre supérieur humain ; son squelette est constitué d’un seul os long, l’humérus, et les groupes musculaires qui le composent sont importants : biceps brachial à l’avant du bras, triceps brachial à l’arrière, et deltoïde sur le côté. Le bras peut être le siège d’un certain nombre de traumatismes ; le plus souvent, il s’agit de fractures de l’humérus.
Les différentes pathologies du bras traitées en kinésithérapie
Fracture de l’humérus
Les fractures de la diaphyse de l’humérus (partie allongée de l’os) sont causées par des traumatismes violents, qui peuvent être directs ou indirects. Le contexte d’apparition typique est une chute sur le côté, réceptionnée sur le coude ou la main. Ces blessures sont généralement graves, entraînant une impotence fonctionnelle totale, et pouvant s’accompagner de complications musculaires, cutanées, vasculaires et neurologiques ; une prise en charge urgente est nécessaire. Le traitement d’une fracture de l’humérus est soit orthopédique, lorsque la fracture est simple et non déplacée, soit chirurgical. Dans les deux cas, il est suivi d’une rééducation de 3 à 4 mois, qui débouche sur une très bonne récupération des capacités fonctionnelles.
Laissez votre commentaire